COMMENT TROUVER TA MISSION DE VIE 🤍 ET DÉFINIR LE MÉTIER QUI CORRESPOND À TES VALEURS ?

📆 Le lundi 03 juillet 2023
à 20H00 (Heure FR)

⚠️ Accessible uniquement sur inscription.
Durée de la masterclass : 2H30

Replay : OUI. Uniquement pour les inscrits 
(et seulement pendant 48H)

DANS CETTE MASTERCLASS, TU VAS DÉCOUVRIR :

Les 6 étapes et les règles d'or pour trouver ta voie et cheminer vers ton Ikigaï

Comprendre la différence entre l’Ikigaï et la mission de vie : comprendre le secret de ce concept et comment l’appliquer dans ta vie au quotidien

Les freins psychologiques qui t'empêchent de changer de voie : quand on pense à changer de métier, faire une reconversion professionnelle, se lancer dans l'entrepreneuriat...

Les erreurs principales qui t'empêchent de trouver ta voie : comment éviter ces erreurs qui reviennent souvent et que l'on répètent

Études de cas : exemples d’Ikigaï concrets pour t’aider dans ton introspection

Session Questions-Réponses : je réponds à toutes tes questions en direct

QUI SUIS-JE ?

Ines Zivkovic | Coach et Profiler experte en Ikigaï
 

Je te fais voyager au coeur de ta personnalité pour t'aider à définir LA voie qui te correspond ! 

 

Certification Professionnelle de coach RNCP - École Supérieure de Coaching Paris​

Expertise et certification IKIGAÏ - Institut Français du Coaching de Vie Paris​

Spécialisation Développement Personnel/PNL - École Supérieure de Coaching Paris​

Spécialisation aux méthodes de Profiling - Institut Réussir dans le plaisir

Practicien PNL - Institut Paul Pyronnet​

Certification Practicien Test de personnalité Lumina Spark - Lumina Learning France​

Practicien Test de personnalité Enneagramme - Institut Paul Pyronnet​

#STORYTIME

Depuis aussi longtemps que je me souvienne, j’ai toujours été la fille parfaitement sage et agréable à vivre dont rêvent tous les parents. 
 

Je menais une vie plutôt tranquille, jusqu’au jour où j’ai eu le malheur de rencontrer mon “premier amour”. Avec toute l’innocence de mes 16 ans, (et les rêves qui vont avec) je lui ai confié mon coeur et ma raison.
 

Et puis petit à petit, d’une manière insidieuse, le rêve s’est transformé en cauchemar.
 

D’abord une gifle, qui me laisse sous le choc.
 

Puis je commets l’erreur de pardonner, ce qui en réalité aurait dû marquer la fin.
 

Enfin la lente descente aux enfers qui dure 6 ans.
 

6 ans durant lesquelles, j’ai subis les pires sévices que l’on puisse faire vivre à un être humain : insultes à longueur de journée, humiliation, violences psychologiques, violences physiques, suivi d’hospitalisation, sans compter les nuits à dormir dans ma voiture pour cacher ma honte. Tel était mon quotidien.
 

Mais ce n’est pas le pire, le pire je n’en parlerai pas pour éviter de heurter ta sensibilité.
 

Et un dimanche, (je t’écris et je revis la scène), alors que j’étais assise derrière la maison de mes parents, j’observe d’un oeil vague le chantier en construction.
 

Je suis seule, je me sens calme et presque sereine. Mon regard erre sur les travaux en pause, quand une question a traversé tranquillement mon esprit.
 

“Et si je mettais fin à mes jours ?”
 

Et si j’en terminais avec ce calvaire qui me ronge de l’intérieur pour me libérer de ce poids devenu trop lourd ?
 

Alors que je réfléchissais soigneusement à la question, un peu comme si on se demanderait :

“Et si je prenais une salade ce midi?”.
 

Une partie de moi a tressailli.
 

T’en ai arrivé là Ines ?
 

J’ai soudain été prise d’un sursaut de lucidité et j’ai eu un déclic… 
 

Ce jour-là, j’ai pris une décision ferme et définitive. Du plus profond de moi même,  je me fais la promesse solennelle d’agir pour m’en sortir. Me battre. Reprendre les rênes de ma vie. Et d’honorer coûte que coûte cet engagement.

Commença alors un long, très long périple parsemé d’embûches et de moments difficiles dont je t’épargne les détails avant que je puisse enfin commencé à sentir le doux parfum de la liberté…
 

L’histoire aurait pu s’arrêter là.
 

Seulement la liberté et le bonheur que j’avais durement gagné dans ma vie personnelle m’échappaient dans ma vie professionnelle.
 

De l’extérieur, ça semblait pourtant parfait : après avoir brillamment réussi mes études, j’étais comptable dans une grande boîte. CDI, bon salaire, sur le papier tout étais présent, mais le sentiment d’être inutile, passive, pas à ma place, pesait de plus en plus sur mon coeur.
 

Je me sentais à nouveau prisonnière.
 

Certes, ce n’était pas aussi dramatique que ce que j’avais vécu par le passé mais le sentiment étais quasi identique : celui de rester à une place qui m’est inconfortable.
 

Je ne serais plus prisonnière de quiconque ni de quoi que ce soit.
 

Surtout que je sentais au fond de mes tripes que j’étais destinée à quelque chose de plus grand, avec plus de sens. Que j’accomplirai de belles choses. Alors qu’est-ce que je faisais ici ?
 

Je me suis longuement interrogé (et ça a pris des années…) :
Qu’est-ce qui compte le plus pour moi?
Qu’est-ce que j’aime vraiment ?
Comment est-ce que je veux aider les autres ?
Comment être utile ?


J’écris et je sourie, car ce jour-là, j’avais commencé à entreprendre mon cheminement vers l’Ikigai. 

Alors que j’en ignorais tout.
 

Et la réponse est apparu avec clarté, comme une évidence : Coach, “oui c’est ça que je veux faire!”
 

Par une (mal) heureuse coïncidence, la femme de mon patron était elle-même coach certifiée. J’ai été la voir avec enthousiasme pour lui demander conseil mais sa réaction m’a laissé bouche bée. Avec mépris, elle m’a assené :

“Bien sûr que non tu ne peux pas être coach, tu n’as aucune expérience, tu es trop jeune, attends encore 10 ans avant qu’une école veuille bien de toi”
 

Ce qu’elle ignorait, c’est que la rage est mon carburant. J’ai échappé au pire, ce n’est pas elle qui m’empêcherait d’être libre et faire ce qui me tient à coeur. 
 

Dans la foulée, j’avais déjà posé ma démission un jour où une fois de plus, je n’en pouvais plus de faire encore ce métier… Alors que je n’avais même pas de plan de repli.
 

Cette décision, prise sur un coup de tête, a été une des meilleures de ma vie.
 

Certes ça a été difficile, car intégrer ma formation de coaching m’a couté une somme astronomique, j’ai dû me serrer la ceinture et faire quelques sacrifice avant de réunir la somme nécessaire.
 

Mais qu’est-ce que j’étais heureuse. Et libre.
 

Car enfin, je sais pour quoi je suis faite. Ce qui me passionnait. Ce qui donne du sens à ma vie.
 

Aujourd’hui je me sens tellement épanouie, heureuse, que j’ai du mal à mettre des mots dessus.

Je ne travaille plus, j’exécute des tâches qui me passionnent.
 

Qui me rend heureuse.
 

Et qui sont utiles aux autres.
 

J’ai trouvé la raison pour laquelle je me lève chaque matin, elle qui m’anime du plus profond  de mon être. J’ai trouvé mon Ikigaï.
 

Et je suis là pour qu’à ton tour, tu trouves le tien.